Le 22 mars 2022, Last Train entrait dans la légende en remplissant la mythique salle de l’Olympia, du 28 boulevard des Capucines, Paris 9. Il aura fallu attendre trois années pour que le rêve de ces gosses d’Altkirch, Alsace s’accomplisse. Il aura fallu attendre beaucoup plus, en fait. L’histoire de ces 4 fantastiques là, débute au collège en 2007. Premiers concerts en bar dans sa ville d’origine et le cercle s’élargit petit, petit, petit à petit le nom circule, les concerts sont bons, les titres accrochent les oreilles. 350 dates plus loin, deux albums repérés et salués de tous, Last Train s’affirme comme le groupe de rock tricolore. Un rock malin, qui sent le cuir stylé du perfecto, un rock d’atmosphère, qui cogne et caresse, qui vous botte les fesses. Sur scène, c’est la messe de minuit, entre montées telluriques des guitares et plages musicales suspendues, tout l’espace scénique s’anime, structure rythmique souple et précise, guitariste possédé et chanteur au front comme sur une barricade.
Let there be sound, there was sound, Let there be light, there was light. Let there be drums, there was drums. Let there be guitar, there was guitar. Oh! Let there be rock !